Ce projet phare doit permettre à tout un écosystème de production de montrer comment l'industrie 4.0 peut fonctionner dès aujourd'hui. L'initiateur du projet est Swiss Smart Factory du SIPBB. L'équipe autour du directeur de recherche Dominic Gorecky et du chef de projet Michael Wendling ainsi que le réseau de SSF apportent le savoir-faire nécessaire. L'association de promotion "Swiss Smart Factory" compte déjà plus de 60 membres et 50 d'entre eux participent au projet phare.
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Un écosystème qui présente le fonctionnement de l’industrie 4.0
Avec ce projet phare, nous nous dirigeons vers une "usine de verre" (prononcer "usine transparente"). Les visiteurs du site SSF peuvent suivre l'ensemble du cycle de vie du produit tout au long de l'écosystème de production, de la conception du produit à son emballage. Le grand défi est de montrer cette interconnexion dans la production.
Une collaboration optimale grâce à la continuité des données
Pour mettre en place une production intelligente et générer une plus grande valeur ajoutée, les technologies ne sont pas utilisées individuellement, mais ensemble. Nous ne nous concentrons pas seulement sur les machines, mais aussi sur tout l'environnement - bâtiment, infrastructure et machine. Grâce à cette continuité globale des données de toutes les étapes de travail, les informations circulent de concepteur à concepteur ; de concepteur à machine ; de machine à produit ; de produit à client et de client à fabricant.
Pragmatisme, créativité et rentabilité
Notre pensée "out-off-the-box" nous permet de faire des tests sans générer d'énormes investissements dans l'entreprise. Ce qui est important dans le projet phare, c'est que ce n'est jamais le produit (un drone dans le premier projet) qui est au premier plan, mais toujours l'outil de production. Que l'on produise des drones ou des chaussures n'a aucune importance.
Les pilotes et partenaires de l’initiative
40 des quelque 50 partenaires du "Swiss Smart Factory Förderverein" (FV-SSF) y participent. La majorité d'entre eux sont des fournisseurs de technologie qui proposent des composants de la technologie d'exploitation (OT), ainsi que des partenaires informatiques qui permettent la communication entre les différents moyens de production – ce qu'on appelle les "logiciels de mise en réseau". Des universités telles que la BFH et des écoles techniques comme la HFTM sont également impliquées. Le projet de phare est cofinancé par le canton de Berne.
